Un autre face-à-face confirmé entre Gary Bettman et le « ministre des Nordiques »

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Il n’est pas nécessaire d’allumer des lanternes et de faire des incantations pour provoquer le retour des Nordiques, mais le ministre Éric Girard a confirmé qu’il rencontrerait le commissaire de la LNH Gary Bettman à New York à la fin novembre.
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Celui que l’on surnomme le « ministre des Nordiques » avait récemment révélé son intention d’aller voir Bettman puisqu’il sera déjà dans la Grosse Pomme pour la conférence de Bloomberg le 29 novembre.
Parallèlement à l’annonce de la venue des Kings au Centre Vidéotron, il a mentionné que son souhait serait exaucé, sans révéler plus de détails sur cette autre rencontre entre les deux hommes.
« J’ai vu M. Bettman et (Bill) Daly à plusieurs reprises et l’ordre du jour est toujours le même : rappeler aux gens que le Québec a changé, que nous avons une économie dynamique, des finances publiques solides, de grandes entreprises, des amateurs de hockey, des infrastructures des ligues majeures. et que nous aimerions avoir une équipe. Que si un jour nous en avons l’occasion, nous répondrons : présents », a-t-il indiqué.
Crédit photo : Photo d’archive, AFP
Pas de seconde main
M. Girard a pris soin de souligner qu’il n’y avait présentement aucune opportunité, que ce soit pour une équipe d’agrandissement ou pour une vente, mais que Québec «est une ville de hockey et on veut des événements».
Il a également mentionné qu’il prend Geoff Molson au mot lorsque le propriétaire du Canadien promet qu’il se tiendra aux côtés du Québec si une opportunité se présentait.
«Je n’ai aucune raison de douter. L’engouement qu’aurait la présence d’une deuxième équipe serait important pour le hockey au Québec, mais aussi pour les Canadiens de Montréal», a-t-il déclaré.
Vers un groupe d’investisseurs
Le directeur opérationnel du groupe Sports et divertissement de Québecor, Martin Tremblay, a pour sa part réitéré l’intérêt de l’entreprise à acquérir une équipe.
Ce dernier a également rappelé que la valeur des franchises a drastiquement augmenté ces dernières années et qu’un partenariat avec d’autres investisseurs serait le bienvenu.
« À l’époque, nous étions les seuls acheteurs. Y aurait-il désormais des groupes de propriétaires ? On le voit partout dans la Ligue nationale en ce moment. L’intérêt est là, mais la manière d’y arriver pourrait être différente », a-t-il résumé.
« Nous n’avons jamais démissionné, mais il n’y a pas d’expansion ni de mouvement d’équipe. Nous sommes toujours restés à l’écart des fausses promesses faites aux citoyens du Québec. Nous savons qu’ils ont été déçus dans le passé. Cependant, nous sommes une entreprise financièrement solide et l’intérêt est toujours là », a-t-il ajouté.
Un marché sérieux

Crédit photo : Photo Stevens LeBlanc
De son côté, en tant que président des Kings de Los Angeles et ancien attaquant vedette ayant joué à plusieurs reprises au Québec, Luc Robitaille se dit convaincu que la LNH ne se moque pas du Québec et prend ses intérêts au sérieux.
« Chaque fois qu’il y a des discussions, plusieurs villes reviennent et Québec est toujours une ville qui est nommée », a assuré celui qui est présent à la table lors des réunions des gouverneurs de la LNH.
«Je n’ai jamais oublié d’où je viens. Chaque fois qu’on me le demande, je dis que Québec est une ville exceptionnelle. Je me souviens d’avoir joué contre les Nordiques. C’était toujours amusant et les joueurs aimaient venir ici. Si on me le demande, je suis toujours du genre à dire que le hockey est spécial ici », a-t-il ajouté.
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