« The Voice » : Jay et Mélodie-Jade, un duel inséparable

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Une complicité unique unit Jay et Mélodie-Jade, que Corneille a mis en duel sur la chanson « Et si », de Tayc et Camille Lellouche, dimanche, à « La Voix ».
« Il nous a fallu du temps pour comprendre et assimiler la chanson, raconte le chanteur de 24 ans. Mélodie-Jade ne rappe pas dans la vie, il a fallu s’adapter. Heureusement qu’elle habite à trois minutes de chez moi, nous avons pu répéter ensemble à l’extérieur du studio. On s’entend bien, et on s’est dit qu’on allait s’amuser sur scène, faire un bon « show ».
A aucun moment il ne semble avoir été stressé par cette expérience. « Je voulais vivre ce moment sans trop penser à ce qui allait se passer après. Je suis resté positif, je ne sentais pas qu’aucun de nous n’allait quitter l’aventure, je sentais que nous allions tous les deux rester.
Jay est heureux d’avoir choisi Corneille comme entraîneur. « C’est cool de travailler avec lui, il est toujours ouvert aux suggestions. Il est prêt à faire ce qu’il faut pour nous mettre à l’aise, tout en nous gardant dans la bonne direction. Il s’assure que ce que nous faisons a du sens.
S’il a autant confiance et semble si à l’aise, cela n’a pas toujours été le cas. « Je pense que je me suis découvert en tant que personne et en tant qu’artiste. Les deux premières fois j’ai tenté ma chance à « La Voix » et ça n’a pas marché, c’est parce que je ne prenais pas en charge ma voix. Depuis, je m’assume et il y a une sorte de confiance qui va avec.
Non seulement il a été choisi par son entraîneur, mais Corneille a aussi sauvé Mélodie-Jade, donc son intuition était la bonne.
« The Voice » : un dépassement pour Virginie Péloquin
Même si elle était stressée à l’approche de la scène des duels à « La Voix » dimanche, Virginie Péloquin s’est un peu rassurée en découvrant la chanson « Jusqu’au bout », d’Amel Bent, que Mario Pelchat avait choisie pour son duel dans devant Mélisane.
« La chanson parle de la façon dont les gens vont parfois nous faire dérailler de nos rêves, nous disant que ce n’est pas possible ou que nous ne sommes pas si bons. C’est arrivé parfois avec d’anciens compagnons, même ma famille est toujours derrière moi. Je voulais faire passer mon message à travers et impressionner les entraîneurs.
Le chanteur de 29 ans, qui avait échoué dans les duels lors de la première saison de « The Voice », a su saisir cette seconde chance. « Ma deuxième sélection m’a fait prendre conscience qu’il fallait que je croie encore plus en moi. J’ai tout donné pour me surpasser, je voulais que les gens voient tous les efforts que j’ai mis pour y arriver.
Le coach semble y avoir été sensible puisqu’il a nommé Virginie avant d’ajouter qu’il a choisi celle qui a le plus évolué et qu’il a le plus vu grandir. Ce choix et ses paroles ont été réconfortants pour Virginie.
« Mon objectif était d’aller plus loin que la première fois. Je voulais vraiment me surpasser, je me suis conquis. J’ai réalisé que j’avais vraiment un talent et que je méritais ma place. J’ai repris confiance. »
« The Voice » : la bienveillance de Sylveo
En associant Sylveo et Ashley Richard sur la chanson « Je te ferai danser » des Boulay Sisters, Corneille a pu créer un duel au cours duquel les deux candidates se sont fait du bien dimanche à « La Voix ».
Sylveo, la chanteuse française de 25 ans, était plutôt confiante. « J’étais excité par la chanson, et parce que j’allais le faire avec Ashley. J’ai trouvé intéressant qu’elle soit si introvertie dans la vie, mais si généreuse une fois sur scène. J’étais vraiment enthousiaste et aussi conscient que c’était un défi .
Au début des répétitions, cependant, Sylveo est déstabilisé par la chanson et le rythme qu’elle exige. «Je chante généralement des chansons assez ralenties ou douces. Quand je fais des reprises, je les fais toujours à ma manière, en insistant sur le poids des mots et leur sens. Là, ça allait juste trop vite pour moi, c’est pourquoi on a ralenti par la suite.
Le résultat a cependant été à la hauteur des attentes du coach, qui a souligné l’évolution importante d’Ashley. Cependant, il a décidé de continuer l’aventure avec celui qui est le mieux équipé et le plus prêt.
« Sa décision m’a fait du bien, surtout face au sentiment d’illégitimité que j’ai depuis que je suis au Québec. Je me sens bien et à ma place ici, mais j’ai le chronomètre qui s’active, pour savoir si je pourrai rester ici plus que les deux ans de mon PVT.
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