Réforme des retraites. Dans le cortège parisien, « ça fait du bien de pouvoir se compter »

Ils étaient près de 700 000 selon la CGT, 81 000 selon la police, à s’être donné rendez-vous dès 14 heures ce mardi à Paris, pour manifester contre la réforme des retraites.

A quelques centaines de mètres du Sénat au moment même où le texte y est débattu, le message est clair, sinon écouté par les élus, les manifestants veulent au moins être entendus.

Enseignants, cheminots, personnels hospitaliers, salariés, publics, privés, retraités et étudiants… tous ont marché dans le même sens : l’annulation du projet de réforme des retraites.

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« Ça fait du bien de pouvoir se compter »

« Nous sommes plus nombreux que les fois précédentes. Ça fait du bien de pouvoir se compter, les manifestations servent aussi à ça », confie un manifestant.

Au fond, le report de l’âge légal de la retraite à 64 ans semble être le principal repoussoir pour les manifestants. Sur la forme, pancartes et lèvres dénoncent avec force ce qu’ils considèrent comme « un passage en force » du gouvernement qui a choisi un processus législatif plus resserré (pourtant constitutionnel), pour l’examen de ce texte majeur.

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Quelques échauffourées, non significatives

« Faites attention aux policiers à moto, ils frappent fort. Ce sont les descendants des voltigeurs (NDLR : unité de police motorisée dissoute après avoir été impliquée dans la mort de Malik Oussekine) » glisse à son compagnon un homme âgé d’une soixantaine d’années faisant partie de l’unité de la Brav-M.

Présents en grand nombre, les policiers sont relativement discrets, ils se déplacent la plupart du temps dans les rues parallèles à la manifestation et ne se livrent pas aux provocations qu’avaient subies les manifestants parisiens les années précédentes. Une baisse visible de l’agressivité et un changement de méthode imputable au remplacement du préfet de police décrié Didier Lallement par Laurent Nunez l’été dernier.

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Nouvelle journée de mobilisation le 11 mars

Sur le chemin, quelques poubelles brûlées et des vitres taguées. Vers 16h30, lorsque le cortège arrive place d’Italie, des échauffourées éclatent entre de jeunes militants vêtus de noir et les forces de l’ordre. Aux projectiles des premiers, les seconds ont répondu en envoyant une série de grenades lacrymogènes. Dispersés, ces débordements ne sont pas représentatifs de l’événement qui était, dans l’ensemble, très bon.

Forte de cette fréquentation record, l’intersyndicale a, mardi soir, déjà annoncé une nouvelle journée de mobilisation le samedi 11 mars.


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