les adolescents doivent rester assis ou allongés après l’injection

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Les adolescents vaccinés contre le papillomavirus humain doivent rester allongés ou assis au sol pendant quinze minutes après l’injection, recommande l’Agence du médicament (ANSM), deux semaines après la chute mortelle d’un adolescent suite à un malaise post-vaccinal dans un collège.
Dans un document publié sur son site internet, mardi 14 novembre, l’ANSM met à jour les consignes pour « suivi post-vaccinal » destiné aux professionnels de santé.
Restez allongé ou assis sur le sol, le dos contre un mur
L’un des principaux effets secondaires du vaccin est le risque de » malaise « , « il est important que des mesures simples soient mises en place pour éviter toute blessure : les personnes vaccinées doivent rester allongées (sur des tapis de sol ou des couvertures) ou assises par terre, le dos contre un mur dans un espace dégagé »détaille l’agence.
Papillomavirus : un tiers des hommes sont touchés
Jusqu’à présent, selon les consignes de vaccination en collège, organisées depuis octobre, seul le suivi des élèves dans le quart d’heure suivant l’injection était recommandé, sans préciser dans quel contexte. Une note de l’ARS (Agence régionale de santé) Île-de-France publiée en juin expliquait que les étudiants devaient être assis sur » chaises « Ou » canapés « et a recommandé de s’allonger aux étudiants qui ne se sentaient pas bien.
Décès d’un étudiant vacciné, après une lourde chute
Ce changement de consigne fait suite au décès d’un élève de 5e du collège Saint Dominique de Saint-Herblain près de Nantes (Loire-Atlantique) fin octobre, à la suite d’une lourde chute, a confirmé l’ANSM.
Le parquet de Nantes, qui a ouvert une enquête pour homicide involontaire, a indiqué que « l’écolier, qui ne se sentait pas bien peu de temps après l’injection, était assis sur une chaise et est tombé sur la tête après s’être senti mal ». L’ANSM précise qu’une gêne post-vaccinale, parfois brève perte de conscience, est « peu fréquent et rapidement résolu, peut correspondre à une réaction psychogène à l’injection » Et « peut être accompagné de tremblements ou de raideurs ».
Le vaccin contre le papillomavirus efficace dans la lutte contre le cancer du col de l’utérus
La campagne de vaccination des collégiens de 5e contre le virus du papillome humain (VPH), responsable de nombreux cancers comme le cancer du col de l’utérus, a été lancée début octobre en France. Ce n’est pas obligatoire.
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