France Vapotage, communiqué de presse novembre 2023

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Voici le communiqué de l’association France Vapotage publié mercredi 15 novembre 2023.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
60% des fumeurs adultes envisagent d’arrêter de fumer grâce au vapotage : saisissons une opportunité historique pour lutter contre le tabac !
Au cœur du mois sans tabac 2023, la 7e édition du Baromètre Harris Interactive concernant « Le regard porté par les Français sur les enjeux liés au vapotage », réalisé pour le compte de la Fédération France Vapotage, reconnaît la pratique du vapotage comme le plus grand espoir des fumeurs adultes pour arrêter le tabac.
Ce rôle majeur de la vape nécessite d’accompagner durablement la filière dans sa structuration en acteur économique responsable. Cela nécessite également de préserver le
avantages essentiels de la vape en termes de prix, d’accessibilité et de diversité des arômes.
OUI, la vape est une opportunité historique de gagner la lutte contre le tabac !
Avec 31,9% de fumeurs, la France retrouve son taux de prévalence du tabagisme1 de 2017 et figure durablement parmi les moins performants de l’Union européenne malgré la
déploiement de politiques de santé publique successives.
La vape est aujourd’hui leoutil le plus utilisé2 et considéré comme le plus efficace3 pour arrêter de fumer. C’est un remède solide pour accompagner sans tarder les fumeurs.
adultes dans leur arrêt du tabac. Ainsi, 1 Français sur 2 estime aujourd’hui que la cigarette électronique peut être un moyen efficace pour arrêter de fumer. Mieux : 60% des fumeurs adultes (et même 81% des vapoteurs !) envisagent d’arrêter de fumer dans les prochains mois grâce à la vape !
Partant de ce constat, 63% des Français souhaitent que le Gouvernement incite clairement et visiblement les fumeurs à se tourner vers le vapotage.
Lutter contre le vapotage, c’est encourager le tabagisme.
Plus d’1 vapoteur sur 2 pourrait revenir au tabac si l’un des avantages de la vape était remis en cause par les pouvoirs publics. Ils seraient 68% (+ 4 points depuis le Baromètre 2021) à revenir au tabac en cas d’augmentation des prix de vente des produits de la vape liée à une politique de surtaxation. Ils seraient 64% (+ 5 points depuis le Baromètre 2022) si la diversité des canaux de distribution (magasins de vape, buralistes, e-commerce) n’a pas été préservé. Ils seraient de 60% s’ils étaient neufs restrictions d’utilisation dans les espaces publics ont été mises en œuvre comme celles associées au tabac. 59 % et 54 % des anciens fumeurs pourraient retourner au tabac si les produits de vapotage étaient accessible uniquement sur prescription médicale ou en pharmaciepareil pour leinterdiction de toutes les saveurs à l’exception de l’arôme tabac. Enfin, 1 vapoteur sur 2 recommencerait à fumer si les pouvoirs publics imposaient un emballage neutre à tous les produits de vapotage.
NON, la vape n’est pas, aux yeux des Français, l’ennemi public numéro 1 !
Malgré un contexte médiatique controversé, associé principalement à la question du phénomène « Puff » ou d’une perception erronée de la consommation de nicotine (addictive mais non cancérigène), la pratique du vapotage est considérée par les Français comme un des comportements bien moins à risque que les pratiques addictives liées aux drogues illicites (cannabis, cocaïne, MDMA) mais aussi à l’alcool. En effet, la dangerosité estimée des produits du vapotage se rapproche de celle d’une consommation excessive de sucre, de jeux vidéo ou de paris en ligne.
En revanche, la circulation de rumeurs et de fausses informations nuit à l’image de la vape et freine son adoption par les fumeurs qui y trouveraient pourtant une solution pour arrêter de fumer. Ainsi, 36 % des personnes interrogées continuent de mettre au même niveau la dangerosité du tabac et celle du vapotage alors même qu’il y a 95 % de substances nocives en moins dans la vapeur des cigarettes électroniques que dans la fumée du tabac. Autre exemple, 1 Français sur 3 pense à tort que la vente de cigarettes électroniques aux mineurs est autorisée : en réalité, elle est interdite mais l’application de la loi n’est pas strictement contrôlée par les pouvoirs publics. Enfin, 68% des Français pensent que le vapotage peut être une porte d’entrée vers le tabac : cet effet passerelle n’a jamais été démontré.4alors qu’au contraire, des millions de personnes sont passées du tabac au vapotage.
Pour les pouvoirs publics, l’heure est à un choix crucial :
• Soit le vapotage rejoint la longue liste des produits reconnus nocifs pour la santé, équivalente au tabac. Dans ce cas, en traitant le vapotage comme un problème de santé publique, la France ne parviendra pas à réduire rapidement une prévalence du tabagisme parmi les plus élevées de l’Union européenne ;
• Soit le vapotage est considéré comme une opportunité historique, et la France pourra rejoindre des pays comme le Royaume-Uni qui ont rapidement divisé par deux leur prévalence du tabagisme. Dans cette configuration et seulement dans cette configuration, nous pourrons enfin franchir collectivement une étape clé dans la lutte contre le tabac.


CONTACT
presse@francevapotage.fr
Fédération Française de Vapotage
219 Boulevard de la Liberté
59 000 Lille
1 https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/tabac/documents/article/prevalence-nationale-et-regionale-du-tabagismeen-france-en-2021-parmi-les-18-75-ans- selon-le-baromètre-santé-publique-france.
2 Guignard R, Richard JB, Pasquereau A, Andler R, Arwidson P, Smadja O et al; le groupe Baromètre Santé 2017. Tentatives d’arrêt du tabac au dernier trimestre 2016 et lien avec le Mois sans tabac : premiers résultats observés dans le Baromètre Santé 2017. Bull Epidemiol Hebd. 2018;(14-15):298-303. http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2018/14-15/2018_14-15_6.html
3 Hajek P Ph.D., Anna Phillips-Waller, B.Sc., Dunja Przulj, Ph.D., Francesca Pesola, Ph.D., Katie Myers Smith, D.Psych., Natalie Bisal, M.Sc., Jinshuo Li, M.Phil., Steve Parrott, M.Sc., Peter Sasieni, Ph.D., Lynne Dawkins, Ph.D., Louise Ross, Maciej Goniewicz, Ph.D., Pharm.D., et al. . Un essai randomisé comparant les cigarettes électroniques par rapport aux thérapies de remplacement de la nicotine. N Engl J Med 30 janvier 2019 ; (publication électronique).
(https://doi.org/10.1056/NEJMoa1808779)
4 Effets des produits d’administration de nicotine à risque réduit sur la prévalence du tabagisme et les ventes de cigarettes : une étude observationnelle. Citation : Pesola F, Phillips-Waller A, Beard E, Shahab L, Sweanor D, Jarvis M et Hajek P. Effets des produits d’administration de nicotine à risque réduit sur la prévalence du tabagisme et les ventes de cigarettes : une étude
observationnel. Résolution de santé publique 2023 ; 11(7).
https://www.journalslibrary.nihr.ac.uk/phr/RPDN7327/#/abstract
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