CH : La clé d’une dangereuse attaque à long terme ?

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Le commentaire revient régulièrement : après Suzuki, Caufield et Dach, la relève offensive au CH n’offre aucune certitude.
Eh bien, Slafkovsky est bien sûr à envisager pour rejoindre un jour le trio susmentionné. Il a clairement les atouts pour le faire. Mais il faudra être patient avec lui et malgré de bonnes performances récemment, il faut rappeler que dans son cas on parle encore d’un « projet à long terme » dont on ne connaît pas le véritable plafond.
Alex Newhook dispose également d’outils intéressants. Assez pour consolider sa place sur l’un des deux premiers trios d’une équipe compétitive de la LNH ? J’ai encore besoin d’être convaincu.
Sinon, Joshua Roy connaît un début de carrière sublime dans la Ligue américaine. Il démontre une fois de plus qu’il peut produire quel que soit le niveau auquel il évolue. Mais le fera-t-il aussi dans la LNH et si oui, dans quelle mesure ?
Enfin, Sean Farrell connaît également des débuts intéressants dans la AHL. Mais a-t-il ce qu’il faut pour traduire ses qualités sur le circuit Bettman et y dominer ? Nous verrons.
A long terme, et si l’on regarde froidement le portrait actuel, l’attaque du CH s’appuie donc sur Suzuki, Caufield, Dach et… quatre jeunes attaquants aux aptitudes très intéressantes, mais au véritable potentiel encore méconnu.
Solutions limitées
Cette réalité explique certainement pourquoi de nombreux fans réclament des « talents haut de gamme ». Selon ces gens, c’est ce qui manque aux Canadiens.
Je suis très loin d’être en désaccord. En fait, ces personnes (salutations si vous en faites partie !) ont tout à fait raison.
Mais vous savez comme moi qu’il y a parfois un monde de différence entre ce que l’on veut et ce qui arrive/peut réellement arriver.
Le Canadien est actuellement classé 16e dans la LNH. Habituellement (oui, il y a toujours des exceptions !), on ne drafte pas un talent d’élite en parlant au milieu du premier tour. Ces gars-là se trouvent normalement entre les rangs un et cinq.
Crédit photo : Getty Images via AFP
Sinon, il y a toujours la possibilité d’échanger ou de signer sur le marché des agents libres, c’est vrai. Mais encore une fois, le joueur arrivant dans ces circonstances sera plus souvent un ajout intéressant qu’un « game changer ».
Bref, oui, des options pour améliorer l’attaque existent. Et je suis sûr que Kent Hughes les considérera tous. En fait, il le doit. Sauf qu’il n’y a pas de remède miracle/facile.
Mais qu’en est-il d’une réalité où je vous dis que le « problème offensif à long terme » du CH, bien que présent, n’est peut-être pas si gros/difficile à corriger ?
Au cas où Kent me lirait (j’en doute, mais bon !) : cela ne veut pas dire ne pas injecter de talent en attaque. J’aurais été clair…
La clé d’une attaque dangereuse… malgré tout ?
À ce jour, seulement quatre équipes devancent le Tricolore en termes de buts marqués par les défenseurs.
Après 15 matchs, Montréal a vu ses gardes toucher la cible à neuf reprises. Et c’est loin d’être une coïncidence.
Martin St-Louis et ses adjoints ont une philosophie claire. Une philosophie déjà rentable (comme le démontrent les chiffres ci-dessus) et qui ne risque pas de perdre de son impact dans les années à venir.
«Nous avons plusieurs jeunes défenseurs avec un gros potentiel offensif qui arrivent dans notre banque de prospects (Lane Hutson, Logan Mailloux, Bogdan Konyushkov, Adam Engström, David Reinbacher) et il y a aussi des gars déjà en place qui peuvent produire, m’a dit ce matin Justin Barron. à la fin de la formation. La contribution des arrières, compte tenu de la façon dont on nous demande de jouer, pourrait certainement devenir une bonne partie de notre identité à l’avenir », a-t-il poursuivi.
Mais comment est décrite exactement cette célèbre philosophie du jeu ?
Dans la vidéo principale, je vous le présente en résumant les explications que m’ont données Martin St-Louis et Justin Barron.
Bonne écoute et… bon match mardi !
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