Cette intelligence artificielle voit l’avenir en prédisant les crises cardiaques 10 ans à l’avance !

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Les accidents cardiaques représentent un tiers des décès dans le monde. Des chercheurs britanniques ont conçu un outil intelligent dont les algorithmes pourraient prédire une crise cardiaque une dizaine d’années avant que l’accident ne survienne. Une avancée technologique pour sauver des vies, adapter les traitements préventifs et réduire les coûts financiers induits par les soins hospitaliers.
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En Angleterre, l’Université d’Oxford a récemment annoncé une avancée majeure dans la prévention des crises cardiaques grâce au développement d’un outil alimenté par l’intelligence artificielle. Cela pourrait aider à détecter des crises cardiaques potentiellement mortelles des années à l’avance.
L’idée des chercheurs de l’université d’Oxford était de développer un système intelligent capable d’analyser les risques cardiaques grâce à des algorithmes astucieux. Alors qu’aujourd’hui les médecins s’appuient principalement sur des données comme l’âge et le mode de vie de leurs patients pour évaluer leur risque de crise cardiaque, cet outil utilise des algorithmes chargés d’examiner des données médicales plus détaillées, pour une évaluation du risque personnalisée et bien plus précise. Il serait ainsi capable de prédire un risque jusqu’à dix ans avant qu’un incident ne survienne.
Prédire le risque cardiaque potentiel 10 ans à l’avance
L’objectif est de pouvoir identifier les patients à risque qui l’ignorent, afin de leur proposer un traitement préventif adapté. Cet outil pourrait non seulement, à terme, sauver des vies, mais aussi contribuer à réduire tous les coûts de santé liés aux traitements lourds qui suivent généralement une première crise. Cela profiterait donc à la fois à la science et au système de santé publique britannique.
Réalisé sur 744 patients, un premier essai de cet outil intelligent a permis d’améliorer le traitement de 45% du panel étudié. Chacun s’est vu attribuer un « score » de risque généré par l’IA. Dans près d’un cas sur deux, les médecins ont pu modifier leur plan de traitement pour des personnes qui ne semblaient pas nécessairement à risque.
Les chercheurs à l’origine de ces algorithmes estiment que la mise en œuvre de cette technologie pourrait entraîner une réduction de plus de 20 % des crises cardiaques et une réduction de 8 % des décès cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux parmi les personnes testées. Un programme pilote à plus grande échelle devrait être lancé prochainement dans cinq hôpitaux.
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