Alfa Romeo Giulia (2023) : voici pourquoi il ne faut pas l’oublier

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La Giulia fait partie de ces voitures que les journalistes adorent, mais qui ne dépassent guère le succès d’estime. Hormis quelques clients avertis, la berline Alfa Romeo est restée confidentiel en France depuis son arrivée en 2015. Ce qui semble tout à fait injuste, compte tenu de ses talents et de son pedigree technique. (et d’un trait de plume, même si ce n’est que notre avis) : la Giulia est une propulsion pointue, taillée comme une voiture familiale (presque) sportive et dotée de raffinements inattendus à ce niveau (trains roulants en aluminium , arbre de transmission en carbone…). En France, les habitudes ont la vie dure et quitte à choisir une berline premium, la majorité des clients se ruent généralement vers la BMW Série 3 ou la Mercedes Classe C. Les nouveaux alfiistes, quant à eux, lorgnent ces jours-ci sur le Stelvio et le Tonale. dernière fois.
Le (léger) restylage intervenu au printemps dernier nous donne donc un excellent prétexte pour reparler d’une italienne sans doute un peu trop discrète. Les principales nouveautés, qui sont minimes, s’empressent d’énumérer : l’intérieur des phares avant à LED, instrumentation numérique au lieu de compteurs analogiques, et petits détails de finition intérieure. Pas besoin de toucher au reste.
Côté moteur, le seul changement concerne le V6 du très turbulent Quadrifoglio qui passe à 520 ch (+10 ch). Pour les versions plus modestes, la gamme est simplifiée, et ne compte plus que deux unités : le 2,2 litres diesel (160 et 210 ch), et l’essence 280 ch sur notre modèle d’essai. Intéressant… même en conduisant ces versions, sans s’énerver, il se passe toujours quelque chose. Ils sont devenus rares, ces voitures de plaisir finalement très rationnelles : une berline équilibrée, ni trop haute ni trop lourde, on a rarement fait mieux pour apprendre à aimer conduire. Ce n’est pas un gros mot.
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